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cow skull
Il y a 5 ans
Here's a full track description:
"Chinese Democracy" opens things up on a theatrical note. Right away you realize that frontman and GN'R mastermind Axl Rose has never sounded better. Ron "Bumblefoot" Thal's guitar solo is another highlight of the title track. "Better" couldn't be better, with a five-pronged guitar attack setting off explosions while a hard beat crunches away. Tommy Stinson's bass line provides the backbone of the rhythm. "Street Of Dreams" comes next, the beautiful song that you might recognize during GN'R's 2006 tour, introduced as "The Blues."
The fifth track, "If The World," is a classic funk-rock song with Middle Eastern elements and liquid bass playing from synth man and programmer –- and track co-writer –- Chris Pitman. There Was A Time" "Broken glass and cigarettes, writing on the wall/It was a bargain for the summer and I thought I had it all," Axl sings before this instant classic crescendos into the powerful chorus. Other highlights include Dizzy Reed, Pitman and Axl's synth orchestra, which gives the song a movie feel.
A gorgeous instrumental intro featuring piano, bass and Axl's signature wails begins the album's next track, "Catcher In The Rye". "Scraped" features Axl all over the register, with layers and layers of vocal tracks piledt on top of each other while a sinister guitar riff shoots through the chorus: "Don't you try to stop us now/'cause I just won't let you." Meanwhile, "Sorry" is a kick-back track with acoustic guitar but with Axl-penned lyrics that bite: "You don't know why I won't give in," he says. "To hell with the pressure, I'm not caving in."
Track No. 9, "Riad N' The Bedouins" has Axl giving his all to the vocal over a complex, multi-layered guitar rhythm. The instrumental bridge segues from strings to a Bumblefoot solo assault. An electronic drum loop leads right into the next song, "I.R.S.", which contains some of Axl's most inner-reaching lyrical content on the album. Track No. 12, "Madagascar," features accltaimed orchestral arranger Paul Buckmaster and emotional samples from history, including two speeches by Martin Luther King Jr., the films "Mississippi Burning" and "Cool Hand Luke."
"This I Love" starts with only Axl's voice and piano playing, and it's the only song on the album solely written by Axl. "Prostitute" brings things to a close, with Axl saying, "It's not a question of whether my heart is true."
Chinese Democracy is a truly epic project, GNR's first studio release since 1993's The Spaghetti Incident?.
source : site officiel des Guns N'Roses
Concha Buika part à Londres « sans objectif, ni argent, sans même parler l’anglais », à un moment où elle ne savait pas « où poser ses fesses » et où elle a appris qu’il est possible de « survivre partout »[4]. « J'ai fait toutes sortes de métiers et [je n'ai] jamais pleuré sur mon sort. J'ai nettoyé des bureaux et des cafés, chanté dans des mariages. J'ai même été hôtesse dans un service de téléphone érotique. Ça n'avait rien de glamour : on était plusieurs filles dans un grande salle, en savates et en survêtement, on simulait l'orgasme au téléphone pendant qu'on gardait un oeil sur une série à la télé. C'est ce qui a payé ma première guitare[3]. » C’est en découvrant Pat Metheny lors d'un concert qu’elle décide de devenir chanteuse[4].
De retour à Palma de Majorque, ville colonisée par les touristes allemands, elle commence à se produire avec des groupes locaux et adapte les chansons africaines de son enfance au flamenco. Elle se nourrie également de jazz et de soul[1],[3]. Elle se fera remarquer dans les lieux nocturnes de l'île aux touristes au point qu'elle obtient un engagement pour chanter en anglais à Las Vegas, grâce à sa ressemblance, physique et vocale, avec Tina Turner. «Je chantais ses chansons, dansais comme elle, ça a duré un an.» [3]
Dans les années 90, elle participe à plusieurs productions comme "Ombra" de La Fura dels Baus ou la bande originale de Km.0. En même temps, elle compose des chansons assez populaires dans le monde européen de la musique House : Ritmo para voçé, Up to the sky ou Loving you[5].
Son premier album personnel sort en 2004, New Afro Spanish Generation suivi de Buika en 2005, qui attirent l'attention sur sa voix exceptionnelle. En 2006, elle crée un autre album, Mestizüo, avec le pianiste Jacob Sureda. Elle croise le musicien et producteur Javier Limón qui se charge du deuxième opus : Mi Niña LolaEn 2006, Javier Limón, auréolé des succès de ses premiers travaux, Lagrimas Negras, et le dernier Paco de Lucia, Cositas Buenas, lance son label Casa Limon et propose à Buika une esthétique flamenco et une brochette de musiciens d'exception : la guitare de Niño Josele, la percussion de Ramòn Porrina y Piraña, le bassiste cubain Alain Perez, la trompette de Jerry Gonzalez[1]. Cette production hisse la voix de Buika et sa poésie. Buika est également capable de composer des choses aussi radicales que Jodida pero contenta («Niquée mais contente»), la dernière chanson du CD, où elle philosophe sur les bénéfices qu'on peut retirer des expériences douloureuses. Reflet d'une personnalité véhémente qui n'hésite pas, au fil des interviews, à mettre en avant sa bisexualité, et à revendiquer la consommation de cannabis et le téléchargement non payant.
Pour Buika, "Mi Niña Lola" est « un hommage à [sa] grand-mère qui, comme beaucoup de femmes africaines vivant dans un pays africain appartenant aux Européens, a eu une vie si difficile qu’elle n’imaginait pas qu’on puisse lui dédier une chanson. »
C'est avec cet album que Buika se révèle au public français. « Que le public parle espagnol ou pas ne fait aucune différence pour moi, confie la chanteuse. J'aime qu'il m'entoure, je me confie à lui comme quand, gamine, je rentrais à la maison avec quelque chose à raconter à maman. Le public, les musiciens et moi ne faisons qu'un, c'est ça un concert ».
En 2006, cet album fut deux fois récompensé aux Latin Grammy Awards et disque d'or en Espagne. Néanmoins, pour Buika ce disque paraît moins important que ses concerts : « Un disque, c'est une chose morte, la photographie d'un instant qui a existé mais qui ne m'intéresse plus. Un merveilleux mensonge. Je n'écoute jamais les miens, je n'ai jamais regardé des images de moi sur scène. Je ne me retourne jamais en arrière, c'est un pacte que j'ai passé avec moi-même[3]. »
Pour ce troisième album, sortit en 2008, Buika chante ses expériences intimes avec des textes personnels ou composés par Javier Limón. Tout en jouant de la guitare flamenco, Javier Limòn à fait appel à Ivàn "Melon" Lewis au piano, Dany Noël à la basse et contrebasse, Ramòn Porrina y Piraña à la batterie, Carlitos Sarduy aux percussions, Mandela à la trompette et enfin Paquète au trombone.
L'album Niña de Fuego fait la part belle à la copla, la chanson populaire des années 30 à 60, telle que l'interprétait Concha Piquer (1906-1990). En effet, Concha Buika interprète Falsa Moneda, un classique de la copla et la ranchera mexicaine avec Volver, Volver, du répertoire de Chavela Vargas. Elle y interprète également la Bohème d'Aznavour, en espagnol